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10 à 18% de la population souffrirait d’acouphènes, régulièrement accompagnés d’hyperacousie. mongeneraliste.be propose des pistes à vos patients pour se débarrasser des chuintements, bourdonnements et autres sifflements perturbants, surtout dans le silence de la nuit. La première est, évidemment, d’éviter de se massacrer les cellules sensorielles de l’oreille en s’exposant de façon répétée à des bruits excessifs, que ce soit au travail ou lors des loisirs. Le site attire l’attention des patients : si les acouphènes perdurent plus de 24 h, il faut consulter. S’ils se sont installés dans la durée, et si on ne peut agir sur leur cause (infection, prise de certains médicaments, bouchon…), il existe des prothèses auditives envoyant des sons blancs masquant les acouphènes. Les thérapies cognitivo-comportementales aident aussi à « faire avec ».
Le site embraie sur la cirrhose, expliquant au public les mécanismes à l’œuvre dans cette affection, et surtout, ses complications possibles. mongeneraliste.be avertit les patients qu’une atteinte du foie peut rester de longues années sans manifestation et suggère d’agir sur les causes majeures que sont l’abus d’alcool et les hépatites, par la modération, la vaccination contre le VHB et la prévention de la transmission du VHC.
Incontrôlés
mongeneraliste.be s’arrête aussi sur l’épilepsie, ses causes, le fait que des traitements médicamenteux dont l’observance doit être stricte peuvent diminuer la fréquence et l’intensité des crises. Après avoir distingué les différentes manifestations des troubles de la conduction électrique, l’article se termine sur des conseils pour qui serait le témoin d’une crise tonico-clonique, et une injonction : si la crise ne cesse pas après quelques minutes, si elle revient, ou si la personne demeure inconsciente, il faut appeler les secours.
De mouvements involontaires il est également question dans la dernière nouveauté de ce mois de novembre, consacrée aux tics, certes pas tous liés à des affections neurologiques. On y conseille de ne pas punir ou humilier les automatismes qui apparaissent à l’enfance : quand il s’agit de tics simples ou peu intenses, ils se résorbent souvent spontanément. S’ils sont installés ou trop gênants, la relaxation et les thérapies cognitivo-comportementales peuvent donner de bons résultats. Neuroleptiques à éviter chez les jeunes patients, conclut l’article.
mongeneraliste.be, un site à recommander à vos patients !Les nouveautés de ce mois de novembre ne constituent qu’une infime partie des collections mises à disposition. Voyez en bas de la page d’accueil l’index alphabétique de tous les sujets traités. |
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