En 2011, le comité directeur de la SSMG choisissait, en pionnier, de propulser la Revue de la Médecine Générale (RMG) dans l’ère numérique. Dès début 2012, celle-ci se laissait feuilleter comme un imprimé sur l’écran de vos ordinateurs.
Les avantages du digital sont multiples et servent les contenus éditoriaux : références bibliographiques cliquables, interactions facilitées avec les auteurs, internationalisation du lectorat, possibilités techniques telles qu’un moteur de recherche ou un zoom pour un meilleur confort de lecture, accès permanent non seulement au dernier numéro mais à toute la collection archivée…
Du pdf, et un sommaire comme épine dorsale
Deux ans après le switch vers le tout-en-ligne, le comité de lecture de la RMG a décidé d’améliorer des points qui, à l’usage, se sont révélés perfectibles.
Il est apparu que, pour ne pas ajouter au dépaysement d’une partie du lectorat moins à l’aise avec l’outil informatique, il convenait de lisser tout obstacle de manipulation entre ces confrères et la Revue. C’est pourquoi, comme l’explique Luc Pineux, du comité de lecture, il a été décidé de passer de la solution « fluidbook » (qui vous donne cet effet de revue papier affichée à l’écran) à un format pdf, plus léger, plus facile d’emploi, en se séparant au passage de fonctionnalités-gadgets qui s’étaient révélées finalement peu exploitées.
Par conséquent, dès janvier 2014, la RMG sera toujours électronique mais paraîtra dans un format pdf garantissant un accès plus direct à l’information et des possibilités plus souples d’en imprimer ou d’en sauvegarder des extraits (*). Elle sera « stockée », comme c’est déjà le cas actuellement, sur le site SSMG. Et les lecteurs continueront à être avertis par mail de la sortie de chaque nouveau numéro (car « rares sont les généralistes qui ne possèdent pas de mail à l’heure actuelle », fait observer le Dr Pineux). Ce mail d’alerte contiendra l’outil déterminant pour parcourir les contenus de chaque édition : son sommaire avec titres cliquables.
La transition vers le pdf n’affectera pas plus la ligne éditoriale ni la qualité des contenus que ne l’avait fait le passage au numérique : les articles seront toujours composés et supervisés par le comité de lecture, avec une rigueur scientifique inchangée.
(*) pour être tout à fait complet, précisons que la possibilité est donnée de commander une version imprimée de la RMG digitale, sur souscription annuelle payante, comme un courrier électronique de la SSMG vous en a récemment informé(e).
Mise en ligne : 22 nov. 2013